Christian Holl



Sonothérapeute, « Chasseur de sons » et compositeur pour les documentaires animaliers-nature , cela fait plus de vingt cinq ans que je sillonne le monde pour l’enregistrer, l’écouter, l’ausculter, dans ses moindres vibrations.


A l’aide de nouvelles techniques de prises de son que j’ai pu mettre au point, j’ai eu le bonheur au fil des années de pouvoir enregistrer au cœur de la matière, qu’elle soit minérale, végétale ou animale. Je parcours alors notre planète pour enregistrer l’âme sonore du monde… Révéler la partition secrète de notre planète, comme celle de l’écoulement de la sève et de l’eau dans les cavités spongieuses des baobabs, est devenue une passion, un véritable parcours de vie, un cheminement quasi initiatique que je vis au gré de mes propres voyages.

 

Il y a dix huit ans, après une lourde opération, j’ai réalisé combien la nature m’apaisait, me réconfortait, me soignait en cette période de convalescence. Se mettre à l’écoute du monde animal, végétal, minéral, aquatique a été pour moi une véritable thérapie, tant sur le plan physique que mental. Je me suis alors intéressé à l’origine de ce bien être que je ressentais. Au fil du temps, divers milieux hospitaliers se sont  également rapprochés de mes sons de l’âme du monde pour soulager leurs patients. Ma curiosité fût alors à son comble.

Alors que j’avais intuitivement enregistré au cœur de la planète des fréquences salutaires, il me fallait  les appréhender à présent d’une manière plus scientifique… C’est ce qui m’a poussé à m’intéresser à la sonothérapie (Somaenergetics Tuning.USA).

 

A chaque retour de voyage, j’identifie les fréquences de chacun des sons que je peux collecter afin de lui attribuer sa correspondance fréquentielle thérapeuthique. Après un soin énergétique effectué aux diapasons, je fais partager à l’aide d’un casque novateur ces vibrations que la nature nous envoie.  La plus belle, celle qui régénère nos cellules et nous connecte à l’univers est attribuée au 528 Hz. Mon émotion fût grande quand j’ai découvert à Madagascar que la sève et l’eau qui s’écoulent dans les baobabs oscillent justement entre 527 et 529 Hz... Je comprends désormais pourquoi les malgaches  divinisent autant ces géants de légende en s’adossant à leurs troncs. L’énergie qui s’en dégage nous rapprocherait-elle un peu plus près des étoiles ?…